Cette lecture contemporaine de la Traviata s’accorde aux intentions de Verdi qui, tout en composant une musique fiévreuse et virtuose, critique la brutalité d’une société du paraître, machine à broyer les individualités. Surtout quand elles sont des femmes qui aspirent à être libres. « Sempre libera », l’air le plus célèbre de Violetta, n’est-il pas l’étendard de cet opéra?
Une occasion de (re)découvrir cet opéra grâce à une captation d’excellente qualité réalisée à l’Opéra de Paris!
L’opéra sera diffusé en deux parties, les vendredis 17 mai et 24 mai.